L'un des premiers qualificatif que l'on entend régulièrement au sujet des Japonais est qu'ils sont d'une politesse légendaire en plus d'être extrêmement disciplinés et serviables. C'est de mon point de vue assez vrai même si ce n'est tout de même pas une généralité. Au Japon comme partout ailleurs, il y a des mufles et de vrais cons !
Ne croyez donc pas tout ce que l'on peut lire ou entendre au sujet du Japon, offrez-vous donc un voyage sur l'archipel pour vous en faire une idée vous-même.
Quoi qu'il en soit, voici deux petites mésaventures que j'ai vécu récemment et dont j'avais envie de vous faire part. Elles ne prouvent en rien que le peuple nippon est plus serviable que d'autres mais le fait est que ce genre d'histoires me semble assez improbables dans mon pays d'origine qu'est la France si l'on se laissait aller à une comparaison.
Commençons par le récit de ce qui m'est arrivé à l'automne à l'aéroport de Tokyo.
J'avais glissé une pièce de 500 Yens dans un distributeur de jouet (les fameux Gashapon que j'affectionne tant) afin d'obtenir une espèce de gros mollusque en plastique qui prendrait place dans ma superbe collection d'objets incongrus et inutiles. Hélas, je n'avais pas vu que le distributeur était vide, ce qui occasionna un dysfonctionnement de l'appareil qui refusa de me rendre ma pièce. Je restais dubitatif devant l'engin jusqu'à ce qu'une femme qui passait par là me prenne en pitié et me propose d'appeler le service de dépannage affiché sur la machine. Je refusais poliment en essayant d'expliquer que ce n'était pas une catastrophe de perdre 500 Yens.
Les magasins de jeux vidéo sont plutôt rares à Kagawa, surtout si l'on exclu les grandes enseignes comme Yamada Denki ou Geo qui ne sont spécialisées que dans les titres actuels ou presque. Ainsi je suis parti à la recherche de quelque chose qui tiendrait davantage du petit magasin indépendant où je pourrais trouver des jeux vidéo, consoles ou autres accessoires retro pour passer un peu de bon temps quand j'ai quelques heures à tuer.
J'ai trouvé mon bonheur dans la zone commerciale pas très loin de la maison avec la sympathique boutique Game Shop Arashi. L'endroit n'est pas très grand mais l'ambiance y est accueillante et conviviale sans compter que les rayons sont plutôt bien achalandés comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, avec des arrivages réguliers. Aussi, les tarifs pratiqués sont extrêmement raisonnables si je compare aux prix complètement fous que j'ai pu constater dans le quartier de Den Den Town à Osaka (bien plus cher qu'en France !).
Voici donc quelques exemples de ce que propose ce petit magasin que j'aime à visiter aussi souvent que possible ! Avant que l'on me demande, je précise que je ne peux acheter et envoyer en France à votre place. Désolé, il faudra vous déplacer jusqu'au Japon, mais vous ne le regretterez pas, c'est un beau voyage à faire !
J'ai trouvé mon bonheur dans la zone commerciale pas très loin de la maison avec la sympathique boutique Game Shop Arashi. L'endroit n'est pas très grand mais l'ambiance y est accueillante et conviviale sans compter que les rayons sont plutôt bien achalandés comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, avec des arrivages réguliers. Aussi, les tarifs pratiqués sont extrêmement raisonnables si je compare aux prix complètement fous que j'ai pu constater dans le quartier de Den Den Town à Osaka (bien plus cher qu'en France !).
Voici donc quelques exemples de ce que propose ce petit magasin que j'aime à visiter aussi souvent que possible ! Avant que l'on me demande, je précise que je ne peux acheter et envoyer en France à votre place. Désolé, il faudra vous déplacer jusqu'au Japon, mais vous ne le regretterez pas, c'est un beau voyage à faire !
J'ai couru un marathon.
Je me suis laissé convaincre d'y participer alors que je n'ai jamais fait de sport et encore moins de la course à pied. J'ai tout de même le vague souvenir d'avoir pris part au cross du collège dans ma jeunesse, mais c'était il y a plus de 20 ans. Ainsi, un mois avant le départ, j'ai commencé à m'entrainer un peu histoire de ne pas ramper au bout d'un kilomètre le jour J. J'avais programmé une séance d'exercice deux fois par semaine mais je n'ai évidemment pas tenu le rythme...
Je me suis alors engagé au départ avec une certaine inquiétude mais contre tout attente, j'ai parcouru les neuf kilomètres de la course (oui c'est une petite distance) sans problème ! Je n'irai pas dire que c'était une promenade de santé parce que j'ai tout de même bien lutté dans les montées mais je m'attendais à être beaucoup plus rouillé ! Il faut dire que l'île d'Honjima où se déroulait le marathon est magnifique et ça aide pas mal : mon attention était davantage focalisée sur la beauté du paysage plutôt que sur l'effort à fournir.
Départ imminent de mon premier marathon !
Avant d'aborder ce sujet, je dois préciser que je ne connais pas grand-chose à Pokemon puisque ce n'est pas vraiment de ma génération et par conséquent veuillez m'excuser si j'écris des erreurs. Les connaisseurs pourront me corriger en commentaires et j'éditerais le texte si besoin.
Tout à commencé lorsque je me suis rendu à la gare de Takamatsu pour rejoindre par la suite Osaka et l'aéroport du Kansai. Il y avait un attroupement dans le grand hall et je me suis approché pour découvrir qu'il y avait un petit événement lié à Pokemon. Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris la chose, mais il semblerait que la bestiole rose Yadon (Ramoloss en Français) ai été élu ambassadeur de la préfecture de Kagawa afin de faire la promotion de la localité. Bien évidemment des produits dérivés sont commercialisés pour l'occasion, notamment des nouilles Udons roses qui sont la spécialité de la région.
Tout à commencé lorsque je me suis rendu à la gare de Takamatsu pour rejoindre par la suite Osaka et l'aéroport du Kansai. Il y avait un attroupement dans le grand hall et je me suis approché pour découvrir qu'il y avait un petit événement lié à Pokemon. Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris la chose, mais il semblerait que la bestiole rose Yadon (Ramoloss en Français) ai été élu ambassadeur de la préfecture de Kagawa afin de faire la promotion de la localité. Bien évidemment des produits dérivés sont commercialisés pour l'occasion, notamment des nouilles Udons roses qui sont la spécialité de la région.
Chaque jour ou presque je tombe sur des voitures abandonnées. Certaines pourraient être sauvées et d'autres sont malheureusement condamnées à servir de support aux plantes grimpantes et finir en tas de rouille. C'est très certainement le sort réservé à cette Toyota Sprinter Trueno abandonnée au bord de la route tout près de chez moi. Pour autant, il semblerait que quelqu'un ambitionnait de redémarrer l'auto endormie puisque une batterie est posée au sol juste à côté de l'épave. Semble-t-il que cette tentative de la dernière chance ai échouée, scellant le destin de la Toyota...
En général, je préfère fréquenter les établissements qui proposent des spécialités culinaires japonaises, mais je dois avouer que de temps en temps et sans abus, un peu de junk food ça fait du bien ! De ce fait, nous avons testé le seul fast food de Busshozan : Burger Café Bitz.
Par un beau matin d'hiver à Tokyo, je me suis levé tôt pour assister à l'ultime édition du JCCA New Year Meet (dont vous pouvez voir le récit en cliquant ici). J'avais prévu d'arriver bien en avance mais sur le chemin entre mon hôtel et la station de métro, je suis tombé par hasard sur une petite brocante organisée dans l'enceinte du temple Tomioka Hachiman-gu. Et comme j'aime particulièrement farfouiller dans les cartons poussiéreux de bon matin à la recherche de quelques vieilleries, je n'ai pu m'empêcher d'y faire un petit tour !
Même si je n'ai pas trouver grand-chose d'intéressant, j'ai tout de même apprécié cette petite brocante par son ambiance tranquille et son cadre très agréable. De plus, j'ai découvert des objets dont je ne connaissais pas l'existence ou dont l'utilité m'était inconnue. Aussi, c'était l'occasion d'observer des choses anciennes qui décrivent le quotidien d'autrefois au Japon. En résumé, je ne regrette pas d'avoir sacrifié un peu de mon temps pour cette sympathique et impromptue plongée dans le passé !
Même si je n'ai pas trouver grand-chose d'intéressant, j'ai tout de même apprécié cette petite brocante par son ambiance tranquille et son cadre très agréable. De plus, j'ai découvert des objets dont je ne connaissais pas l'existence ou dont l'utilité m'était inconnue. Aussi, c'était l'occasion d'observer des choses anciennes qui décrivent le quotidien d'autrefois au Japon. En résumé, je ne regrette pas d'avoir sacrifié un peu de mon temps pour cette sympathique et impromptue plongée dans le passé !
L'été dernier, je me suis rendu à Sendai pour revoir quelques amis (j'écrirais un peu plus tard un sujet pour relater ce sympathique séjour) et comme nous avions prévus de faire un barbecue, nous avons été faire quelques emplettes sur le marché aux poissons de Shiogama. L'avantage de ce type d'endroit est que l'on peut acheter directement auprès des mareyeurs et donc profiter de produits de première fraicheur (à des prix très intéressants également). Ce marché qui existe depuis plus de 50 ans est considéré comme une véritable institution dans tout le Japon. On y trouve plus de 140 stands de poissonniers dont certains sont spécialisés dans la préparation du fameux maguro, le thon vendu à prix d'or que l'on déguste dans la haute société en sashimi.
L'ambiance sur le marché est très particulière et se balader dans les allées et passer d'étale en étale est une bonne occasion de s'émerveiller devant les bizarreries qui y sont proposées. C'est joyeusement coloré et très surprenant ! Voici donc quelques photos qui tentent de transmettre un peu l'atmosphère animée de l'endroit.
L'ambiance sur le marché est très particulière et se balader dans les allées et passer d'étale en étale est une bonne occasion de s'émerveiller devant les bizarreries qui y sont proposées. C'est joyeusement coloré et très surprenant ! Voici donc quelques photos qui tentent de transmettre un peu l'atmosphère animée de l'endroit.
Et voici le grand retour de la rubrique "Vive la France !". Cette fois encore on peut constater une maitrise parfois très approximative de la langue de Molière et c'est très drôle !
Imaginez une aire d'autoroute propre et accueillante où l'on peut se procurer de bons produits locaux et se restaurer à tarif raisonnable... Un endroit agréable propice à la détente et à la rencontre d'autochtones sympathiques, toujours prêts à donner de bons conseils sur les lieux à visiter dans le coin... Ce lieu paradisiaque, il existe sur chaque tronçon de route du Japon ou presque et il se nomme michi no eki.
L'exemple parfait est l'aire de repos Yotte Nishitosa à Shimanto (préfecture de Kochi) qui dépasse toutes les attentes des automobilistes qui visitent la région. Le bâtiment est moderne mais ne dénature pas le paysage, bénéficie d'une large parcelle dédiée aux stationnement des véhicules et surtout propose via la boutique une palette incroyable de produits locaux à déguster directement sur place. Oubliez donc les sandwiches triangle en polystyrène et les sodas hors de prix que l'on achète pas dépit dans les aires d'autoroute en France et laissez-vous donc envoûter par les délicieuses senteurs des fruits frais produits aux alentours, des plats simples mais délicieux proposés dans le petit restaurant ou les succulentes pâtisseries à consommer dans le café à la décoration raffinée.
Réellement, les stations de ce genre me transporte de bonheur à chaque visite et je ne peux m'empêcher d'y faire une halte à chaque fois qu'il y en a une qui se présente sur ma route. Cela peut paraitre un peu fou, mais je me demande même si je ne serais pas prêt à m'organiser un road trip qui consisterait uniquement à faire la tournée des aire de repos ! Car c'est avec une certaine excitation que je me demande quels produits insolites je vais pouvoir découvrir, surtout que dans la majorité des cas, c'est très abordable ! Un exemple tout bête, c'est par exemple le soda local de Tokushima au sudachi (un genre de citron vert) qui ne coûte qu'à peine plus de 120 Yens la canette, soit même pas 1 Euro !
Voici donc quelques photos du lieu et une surprise en fin d'article qui dévoile ce qui se cache à l'étage du bâtiment...
L'exemple parfait est l'aire de repos Yotte Nishitosa à Shimanto (préfecture de Kochi) qui dépasse toutes les attentes des automobilistes qui visitent la région. Le bâtiment est moderne mais ne dénature pas le paysage, bénéficie d'une large parcelle dédiée aux stationnement des véhicules et surtout propose via la boutique une palette incroyable de produits locaux à déguster directement sur place. Oubliez donc les sandwiches triangle en polystyrène et les sodas hors de prix que l'on achète pas dépit dans les aires d'autoroute en France et laissez-vous donc envoûter par les délicieuses senteurs des fruits frais produits aux alentours, des plats simples mais délicieux proposés dans le petit restaurant ou les succulentes pâtisseries à consommer dans le café à la décoration raffinée.
Réellement, les stations de ce genre me transporte de bonheur à chaque visite et je ne peux m'empêcher d'y faire une halte à chaque fois qu'il y en a une qui se présente sur ma route. Cela peut paraitre un peu fou, mais je me demande même si je ne serais pas prêt à m'organiser un road trip qui consisterait uniquement à faire la tournée des aire de repos ! Car c'est avec une certaine excitation que je me demande quels produits insolites je vais pouvoir découvrir, surtout que dans la majorité des cas, c'est très abordable ! Un exemple tout bête, c'est par exemple le soda local de Tokushima au sudachi (un genre de citron vert) qui ne coûte qu'à peine plus de 120 Yens la canette, soit même pas 1 Euro !
Voici donc quelques photos du lieu et une surprise en fin d'article qui dévoile ce qui se cache à l'étage du bâtiment...